Le crépitement des mémoires d’une famille ayant plus de 450 ans

« Père et fils sont assis devant la cheminée. Ils sont silencieux, on n’entend que le bruit du bois qui brûle et de la pluie qui frappe les portes vitrées. Si vous les ouvrez, l’odeur de la terre humide se répand à travers le salon, rempli d’œuvres d’art et d’antiquités. Cette odeur est, elle aussi, ancienne. Les deux hommes se souviennent facilement de leur enfance. Ils ont vécu ici, comme tant de leurs ancêtres au cours des siècles. Tous deux portent le même nom, Francisco Paiva Calado. Le père a 76 ans, le fils 42. Ils sont silencieux, mais cette cheminée a été témoin de conversations qui alimenteraient des volumes. (…) »

Tout cela et bien plus encore, dans une Quinta enchantée par des paons, des grenouilles, d’immenses oiseaux, des chevaux, des abeilles, un grand danois appelé Foz, des oies et des canards, des grillons, des lézards, des coccinelles, des lucioles, un âne appelé Jurema et beaucoup d’autres animaux.

HISTOIRE O Crepitar das Memórias

Écrite par Vítor Melo, blog Support à l’investissement touristique